Everybody knows
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Réalisateur : |
Asghar FARHADI | ||
Acteurs : |
Penélope Cruz, Javier Bardem, Ricardo Darín, ... | |||
Genre : |
Thriller, Drame | |||
Durée : |
2 h 12 | |||
Date de sortie : |
09/05/2018 | |||
Titre original : |
Everybody knows | |||
Note "critique" : |
2,00 | |||
Classement 2018 |
70 / 108 |
Résumé : |
.O xx |
.O. A l’occasion du mariage de sa soeur, Laura revient avec ses enfants dans son village natal au coeur d’un vignoble espagnol. Mais des évènements inattendus viennent bouleverser son séjour et font ressurgir un passé depuis trop longtemps enfoui. .O. |
Xavier |
.O. Il faut dire qu'après mon film préféré de l'année 2011 qui avait obtenu sans débat possible 4@, la chute aura été inexorable : Il faut dire que le casting n'apporte pas grand-chose à l'histoire si ce n'est des personnages assez tété à claques, particulièrement pour la mère et la fille (que j'aurais volontier abandonné aux ravisseurs à la place des parents). L'histoire qui joue sur les jalousies familiales et autres rancoeurs entre des habitants d'une petite ville espagnole ne vole pas bien haut et j'ai vraiment eu du mal à me passionner pour la recherche de la jeune fille. Les dialogues ne volent pas très haut, les sous-entendus étant sur-entendus alors que les diverses sous intrigues sont toutes plus faibles les unes que les autres : les 3 gamins qui viennent filmer avec le drone la soirée et le mari de la prof qui n'a pas confiance en eux, les ouvriers agricoles corvéables à merci mais directement soupçonnés car ne faisant pas parti du serail, les expatriés censés avoir réussi, la pièce rapportée (et non la valeur ajoutée) qui n'est pas bien intégrée, des amours de jeunesse qui ont tourné courts, ... Tout cela s'amoncelle sans que la mayonnaise ne prenne et le film se traîne en longueur pendant plus de deux heures pour un résultat sans que la tension ne monte, sans que les diverses hypothèses ne prennent corps, sans que le film ne réussisse le défi qu'il s'état imposé. Bref, le premier raté d'Asghar Farhadi est reparti bredouille de Cannes et cela me rassure quant à la qualité de la cuvée 2017 car mettre en avant ce film aurait été une totale incompréhension. |
Première : ¤ ¤ ¤ |
Studio / Ciné Live :
# # |
.O. Farhadi déploie sa logique implacable de conteur, reste au plus près des corps, ausculte les moindres faits et gestes et distille les révélations pour mieux fissurer les masques. .O. |
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